Castlevania
Posté : mar. août 01, 2017 3:53 pm
Pour ceux qui connaissent la franchise...non je ne me suis pas trompé de section et il s'agit bien de l'adaptation en anime du jeu vidéo.
Alors j'ai découvert ça il y quelques jours.
Il y a, à ce jour, 4 épisodes qui sont disponibles sur Netflix depuis le 7 juillet.
Ces épisodes ne sont en quelque sorte qu'un prologue, une mise en bouche, avant 8 épisodes qui seront eux dispos en 2018.
Verdict ?
Je n'ai pour l'instant vu que 3 épisodes sur les 4, mais globalement c'est sympa.
Dans aucun domaine (animation, graphisme, etc...) on n'est à proprement parler dans l'excellence, mais le niveau est dans le très bon.
L'animation est un peu poussive par moment, mais pas trop dégueulasse non plus, lors des phases de combat.
Les décors sont globalement très bien fichus et le charachter design est particulier. À mi-chemin entre le comics américain et les animes japonais, ce qui donne une touche vraiment originale aux personnages. Ils me rappellent un peu, ce qu'on peut voir sur le chevalier d'Eon pour ceux qui connaissent.
Par contre l'anime Castlevania est bizarement une production 100 % américaine. Étonnant, vu que la licence des jeux vidéo est japonaise...étonnant surtout que les japonais ne s'y soient jamais attaqués avant.
Alors généralement les animes adaptés de jeux vidéos (et inversement les jeux tirés de DA) n'ont pas bonne presse et pour cause ils sont souvent des navets culcul-gnangnan insipides et totalement hors-sujet par rapport au support original.
On pourrait faire une liste d'exemples longue comme 10 bras.
Ici ce n'est pas le cas. On est clairement devant un anime bien sombre et horrorifique avec un contenu clairement orienté pour adultes, qui pour l'ambiance se rapproche des Lords of Shadow, les derniers épisodes majeurs de Castlevania en jeu vidéo.
À ne pas regarder avec sa progéniture, ou le petit frère, ou la petite soeur.
Le héros est un homme perdu et désabusé, proche de l'alcolisme. Les sbires de Dracula ne font pas dans la dentelle quand il s'agit d'exterminer les bonnes gens de Valachie, les tripes et les yeux volent à tour de bras.
Par ailleurs la série aborde aussi des thèmes sérieux et sensibles, comme la lutte des classes, l'intolérance religieuse, etc...
Au niveau scénario la série s'inspire principalement de Castlevania 3 : Dracula's Curse (NES) et Symphony of the night (PS19 qui sont reconnus par les fans de la franchise comme comptant parmis les meilleurs.
En bref : une série à suivre de très près par les fans et les nons fans.
Alors j'ai découvert ça il y quelques jours.
Il y a, à ce jour, 4 épisodes qui sont disponibles sur Netflix depuis le 7 juillet.
Ces épisodes ne sont en quelque sorte qu'un prologue, une mise en bouche, avant 8 épisodes qui seront eux dispos en 2018.
Verdict ?
Je n'ai pour l'instant vu que 3 épisodes sur les 4, mais globalement c'est sympa.
Dans aucun domaine (animation, graphisme, etc...) on n'est à proprement parler dans l'excellence, mais le niveau est dans le très bon.
L'animation est un peu poussive par moment, mais pas trop dégueulasse non plus, lors des phases de combat.
Les décors sont globalement très bien fichus et le charachter design est particulier. À mi-chemin entre le comics américain et les animes japonais, ce qui donne une touche vraiment originale aux personnages. Ils me rappellent un peu, ce qu'on peut voir sur le chevalier d'Eon pour ceux qui connaissent.
Par contre l'anime Castlevania est bizarement une production 100 % américaine. Étonnant, vu que la licence des jeux vidéo est japonaise...étonnant surtout que les japonais ne s'y soient jamais attaqués avant.
Alors généralement les animes adaptés de jeux vidéos (et inversement les jeux tirés de DA) n'ont pas bonne presse et pour cause ils sont souvent des navets culcul-gnangnan insipides et totalement hors-sujet par rapport au support original.
On pourrait faire une liste d'exemples longue comme 10 bras.
Ici ce n'est pas le cas. On est clairement devant un anime bien sombre et horrorifique avec un contenu clairement orienté pour adultes, qui pour l'ambiance se rapproche des Lords of Shadow, les derniers épisodes majeurs de Castlevania en jeu vidéo.
À ne pas regarder avec sa progéniture, ou le petit frère, ou la petite soeur.
Le héros est un homme perdu et désabusé, proche de l'alcolisme. Les sbires de Dracula ne font pas dans la dentelle quand il s'agit d'exterminer les bonnes gens de Valachie, les tripes et les yeux volent à tour de bras.
Par ailleurs la série aborde aussi des thèmes sérieux et sensibles, comme la lutte des classes, l'intolérance religieuse, etc...
Au niveau scénario la série s'inspire principalement de Castlevania 3 : Dracula's Curse (NES) et Symphony of the night (PS19 qui sont reconnus par les fans de la franchise comme comptant parmis les meilleurs.
En bref : une série à suivre de très près par les fans et les nons fans.