http://www.slate.fr/story/186881/japon- ... ot-netflix" onclick="window.open(this.href);return false;
Alors il y a des points sur lesquels je ne suis pas d'accord.
Et l'épisode G ?Encore en cours de publication, Saint Seiya: Saintia Shō est développé par la mangaka Chimaki Kuori à partir d'une idée du maître.
Et si j'en crois les posts de Kodeni et de State dans ce topic, le but est plus ou moins atteint.Fruit d'une coproduction entre les États-Unis et le Japon, le reboot diffusé par Netflix (qui vient de dévoiler sa deuxième saison le 23 janvier) avait sans doute pour but de faire enfin naître l'intérêt du public américain pour l'univers Saint Seiya.
Ça tombe bien, parce que KOTZ ne s'adresse pas en premier à la fanbase.La version animée en 3D, pilotée par Eugene Son, est pourtant loin de satisfaire la fanbase du manga.
Si le coté avant-gardiste du perso était réel en 1986 en 2020 c'est déjà beaucoup moins le cas.Ce choix assez inexplicable a déclenché l'ire des fans, dépité·es de voir disparaître le caractère avant-gardiste du personnage, qui faisait souffler un vent gender fluid dans un univers plus rompu aux héros testostéronés.
Et encore...Perso, gamin, à part les erreurs de casting pour le doublage, dont Shun faisait les frais en début d'anime, ce perso ne m'a jamais paru si bizarre que ça. Et puis l'ire c'était la première réaction générale qui faisait suite à l'annonce du changement de sexe d'Andromède. Entre temps il y a eu le "pourquoi pas...si ça permet de faire évoluer les relations/interactions entre les protagonistes". Pour finir par un "tout ça, pour ça ?!"
Oui et non. Il est certes amoindri, mais pas totalement absent.L'esprit nekketsu s'est donc perdu en route, quelque part entre le Japon et les États-Unis.